Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, L’Épouse Hypersexuelle (17) : Plage, Mer Et Dunes

Je vais faire une exception dans la chronologie de mes récits. Celui-ci n’est pas dans la continuité des précédents, qui traitent de mon « éducation » de salope intégrale par Rachid.
Nous avons souhaité faire une pause dans le déroulé des récits (mais, c’est promis, nous continuerons) et, à partir d’un récit plus récent, montrer la continuité de notre histoire et de notre sexualité, qui est le produit du candaulisme de Philippe et de mon hypersexualité. Une rencontre explosive, mais qui a fait notre bonheur et qui a résisté à toutes les tempêtes.
Depuis près de six ans, je me suis « calmée ». Je raconterai comment j’avais, pendant quelques mois, quitté Philippe pour suivre Hassan, avant de revenir vers mon mari car j’avais compris que je ne pouvais me passer de lui, que sa complicité était nécessaire à mon plaisir et à mon bonheur.
Nous sommes désormais une famille et nous élevons, en veillant à bien les protéger de nos « turpitudes » trois filles, Lucie 8 ans aujourd’hui, Leila 6 ans et Sofia 4 ans. Les événements de cet été auraient pu d’ailleurs déboucher sur une quatrième naissance, je vais en parler.
Philippe est le père de mes filles, même s’il n’a en fait conçu que la dernière. La première est de Rachid, qui m’avait fécondé en présence de Philippe (je raconterai ce moment exceptionnel) mais c’est ce dernier qui l’a reconnu. La seconde a été conçue par Hassan, qui, lui, a tenu à reconnaître sa paternité.
Avec Hassan nous avons finalement trouvé un équilibre, il vient voir sa fille quand il le souhaite et, à cette occasion, c’est bien volontiers qu’il occupe le lit conjugal afin de m’honorer comme il se doit. Hassan, si exclusif au début, qui voulait que je sois son épouse, qui voulait que je divorce, a fini par accepter notre mode de vie et donc que Philippe puisse assister à nos ébats.
Notre dernière fille est enfin le fruit de mes amours à Philippe et moi, la récompense que je lui devais pour tout son amour et parce qu’il a changé ma vie.

Je peux dire que Philippe veille au moindre désir de ses princesses, c’est-à-dire nos trois filles et moi.
Comme je l’ai dit, nous nous sommes calmés par obligation, pour protéger notre vie de famille et préserver nos s, ce qui est la moindre des choses. Nous avons fermé notre blog, changé de ville et Philippe a changé de travail. Ce qui ne veut pas dire que Philippe ait renoncé à son candaulisme, ni de moi n’aies pas envie d’assumer des besoins sexuels toujours aussi importants. Nous sommes simplement plus prudents et évitons les débordements de la période Rachid.
A chaque fois que nous le pouvons, nous renouons avec nos habitudes et nos soirées les plus chaudes. J’ai toujours envie et besoin d’amants à la chaine et de pratiques hard, fist-fucking, gang bang, flagellation notamment. Et je sais que j’en ai autant besoin que Philippe de me mater dans mes excès.
Pour revenir à ce récit, il s’est passé l’année dernière, pendant nos vacances d’été dans mon pays d’origine. J’ai en fait reproduit, à quelques années de distance, un épisode qui s’était déroulé, dans des conditions comparables, à l’initiative de Rachid. Je n’imaginais pas cependant que j’allais, à 38 ans, me comporter de cette façon, prouvant que j’étais, plus que jamais, hypersexuelle. Par élémentaire prudence, en accord avec la personne concernée, j’appellerai celui qui fut, pendant ces vacances d’été, mon nouveau mâle, « N ».

Nous étions à la plage et les filles étaient restées avec ma mère. Nous prenions le soleil, un peu à l’écart du gros des baigneurs, mais on nous voyait parfaitement. Philippe, qui a la peau fragile, s’était mis un peu à l’écart, à l’ombre, sous un parasol. De mon côté, je portais un bikini ultra-sexy. J’installais ma serviette, me plaçais sur le ventre et retirai le haut. Je ne conservais que le mini-string de bain, qui dévoilait mes fesses et cachait à peine mon sexe. Mes lecteurs savent que je suis exhibitionniste et que j’adore exciter les mâles. J’avais pu constater lors d’une promenade sur la plage, un peu avant, l’effet que je continuais à susciter, malgré mes 38 ans et mes maternités, chez les hommes.
Je prends soin de mon corps, je suis sportive, et de l’aveu de ceux qui ont l’occasion de m’honorer, je suis toujours aussi désirable. Me seins sont toujours petits, fermes et sensibles, même si la maternité et l’allaitement ont un peu développé ma poitrine.
Philippe s’était assez rapidement et profondément endormi. C’est alors que j’ai remarqué ce bel homme, très grand, musclé, viril, grisonnant, il devait avoir aux environs de la cinquantaine. . Il posa sa serviette très près de nous.
Je faisais semblant de lire, mais j’observais son manège à travers mes lunettes de soleil. Il n’était pas là par hasard, il m’avait repéré et me matait avec insistance. Je constatais aussi qu’il se rapprochait insensiblement.
Un moment, il se mit sur le dos et je constatais à cette occasion que ce type avait une érection que son maillot cachait très difficilement. En connaisseuse, je savais qu’il avait un calibre comparable à celui de Rachid ou d’Hassan. Je constatais aussi que la pointe de mes seins durcissait et que ma chatte était trempée, signe que j’avais envie. J’étais sur une plage où il y avait du monde. C’était de la folie, une fois de plus !
Le type avait remarqué que je le regardais à mon tour. Il s’enhardit, descendant un instant son slip de bain pour exhiber une superbe verge circoncise, avec un large gland et des couilles lourdes. J’avais envie, mais je me suis retenue, vu le lieu où nous étions. Le sourire que je lui ai adressé valait toutefois tous les encouragements.
• Monsieur, mon mari dort profondément, mais j’aurais besoin de crème solaire sur le dos, ça ne vous dérange pas ?
• Au contraire. Avec plaisir !
Il s’est approché et il a pris mon huile solaire. J’avais compris qu’il était du pays et me suis mise à lui parler dans notre langue.
• Tu es d’ici ? On peut se tutoyer ? Je m’appelle N.
• Je m’appelle Olga, mon mari Philippe est français mais je suis d’ici.
• Je suis au même hôtel que vous. Je t’ai repéré.
Je ne suis pas ici par hasard.
• Tu penses que je suis une épouse volage ?
• Mon instinct me dit que ton mari ne doit pas te suffire.
• En attendant, commence par me protéger des brulures du soleil, pour le reste, on verra ensuite !
Il enduisit ses mains d’huile solaire et de crème et pendant un quart d’heure prit soin de bien de bien me recouvrir. Pas un endroit de mon corps ne fut oublié. Ce type était doué pour les massages, qui, peu à peu, devenaient des caresses. Je me sentais infiniment bien. Il insista sur mes fesses, mes épaules. Ses mains étaient à la fois douces et fermes. L’huile coulait dans ma raie culière et dans ma chatte. N en profita pour aller explorer mes deux intimités avec ses doigts.
• C’est bon, continue, j’adore !
• Tourne-toi, il faut aussi protéger le devant !
Je lui obéis et il se mit à mettre l’huile solaire sur le devant de mes jambes, puis il se mit à s’occuper de mes seins. Sous prétexte de mettre de l’huile solaire, il me malaxait les seins et titillait avec ses doigts mes tétons qui étaient durs de désir. Je n’en pouvais plus et ça m’excitait qu’il faisait ça à proximité de mon mari, et alors que les autres plagistes n’étaient pas très loin, et que certains avaient remarqué notre manège.
Je voyais aussi que N bandait comme un âne, au point que son gland dépassait de son maillot de bain.
Je me suis redressée, j’ai mis la main sur son maillot et commencé à caresser son engin. Je lui offert mes lèvres et nous avons échangé un long baiser. Dans ses bras, je sentais son désir. L’homme était possessif et sa langue enroulait la mienne, il mordait mes lèvres. Je me blottissais dans ses bras.
• Oh N, j’ai envie. Mais ici, ce n’est pas possible, on nous observe.
• Si je comprends bien, ça ne te pose aucun problème de faire ça en étant si proches de ton mari. J’ai remarqué qu’il aimait t’exhiber !
• Philippe est candauliste et ça fait plus de dix ans que je me fais prendre devant lui.
Il adore ça. Ca te choque ?
• Pas du tout, si ça lui fait plaisir ! Cette nuit, vous venez dans ma chambre et il ne sera pas déçu. Toi non plus, ma chérie !
• On fera ça, je serai à toi toutes les nuits de notre séjour ici. Mais j’ai envie maintenant.
• Moi aussi figure-toi.
Nous fûmes interrompus par une femme, qui nous apostropha, furieuse :
• Dites donc, vous ne pouvez pas faire vos cochonneries ailleurs ? C’est intolérable, je vais appeler la police.
Je me suis dirigée vers cette mère de famille, qui devait avoir la trentaine, une jolie brune avec une poitrine arrogante. Je la pris dans mes bras, elle se laissa faire faire, puis je déposais un baiser sur ses lèvres. Voyant sa passivité, je l‘embrassais à nouveau, mais cette fois carrément. Elle répondit à mon baiser, tandis que mes mains caressaient sa poitrine. Elle me laissa fouiller son intimité. Mon instinct ne m’avait pas trompé, elle mouillait :
• Tu t’appelles comment ?
• Théodora
• En fait, ce que nous faisons t’excite. Tu es mariée ?
• Oui.
• Je suis certaine que tu n’as jamais fait l’amour avec une femme ou trompé ton mari. Mais tu en crèves d’envie. Avoue-le !
• Oui, je t’observe depuis hier, Olga et tu m’excites.
• Parfait ma chérie. Maintenant, j’ai envie de N. Mais je suis bisexuelle et je suis une disciple très douée de notre poétesse Sappho. Tu me feras signe à l’hôtel et je m’occuperai de toi. Et si tu veux baiser avec des hommes, on partagera des amants ? Tu as envie que je te pervertisse ?
• Oh oui, Olga, dit-elle en m’embrassant fougueusement, sans se soucier qu’on puisse à son tour l’observer, ce qu’elle nous reprochait quelques minutes auparavant.
• N, où va-t-on pour ce que tu sais ? J’ai tellement envie ?
• Allons d’abord nous baigner.
J’ai laissé un papier à Philippe, qui dormait toujours et n’avait pu assister (il me reprocha de ne pas l’avoir réveillé, mais je lui répondais que j’aimais aussi ces moments où j’étais vraiment une femme adultère) assister pour lui dire que j’étais allé nager.
Je me suis dirigée vers la mer, vêtue de mon seul string de bain, ne voulant pas m’encombrer du haut. Je savais que N allait me rejoindre.
Je nageais un peu, l’eau apaisait un peu mon excitation, sans la faire disparaitre. J’attendais mon amant. J’avais trouvé pour ce séjour un mâle et cela s’annonçait prometteur.
N me rattrapa en quelques brasses m’attrapant par derrière il glissa une main le long de mon ventre vers mon slip de bain. Je me débattis du mieux que je pus ce qui eut pour effet de frotter mes fesses sur sa queue tendue pour enfin finir retourner face à lui le ventre écrasé sur le sien ma poitrine contre la sienne ses mains enrouler dans le bas de mon dos. Nous étions un peu éloignés de la plage, mais à portée de vue. Je le savais et ça m’excitait.
Il me prit dans ses bras et, malgré notre désir réciproque, il voulait prendre tout son temps. Il me roulait des pelles et ses lèvres s’occupait aussi de mes tétons.
Je caressais sa bite sous l’eau et commençais à le masturber. Ses doigts se mirent alors à fouiller ma chatte et mon anus.
• Oh mon chéri, oui, doigte-moi
N’ayant pas pied tous les deux, nous étions à la limite de couler, nous débattant pour garder la tête hors de l’eau. N, sous l’eau me doigtait et me mit un moment toute sa main, tellement j’étais ouverte.
Il revint à la surface. Sa queue frottait de plus en plus fort contre mon pubis et de temps en temps son gland appuyait sur mon clito envoyant des ondes de plaisir dans mon ventre si bien que celui-ci recherchait de plus en plus ce contact. N faisait glisser sa tige le long de mes lèvres gorgées de sang. Ses mains se posèrent sur mes fesses appuyant encore un peu plus sa bite contre ma chatte. Son gland se trouvait à quelques millimètres de l’entrée de ma chatte protégée par mon maillot quand d’une main il tira sur un bord de ce dernier entre mes fesses et mon sexe ce qui eut pour effet de libérer le passage de ma moule à sa queue et finissant de descendre d’un petit coup de rein il pointa son gland à l’entrée de ma moule.
N défit mon string-ficelle, qui partit au loin. J’étais nue désormais pour regagner la plage, mais je m’enfichais complétement. Oh ouiiiii N j’ai envie que tu me prennes.
Il appuya plus fort sur mes fesses m’attirant vers le bas m’empalant lentement le long de sa bite. Je sentis mes chairs s’ouvrir sans résistante et même au contraire avaler avec délice cette douce queue les lèvres et les fesses caresser par la houle.
N resta immobile plantant ses yeux dans les miens :
• hum c’est divin, tu es délicieuse, je te sens m’accueillir et m’enserrer en douceur tu es si chaude tu sens ma queue écarter ta moule t’aime ? Embrasse-moi ma belle
Il m’attirait à lui enfonçant un peu plus sa pine dans mon trou puis me relâchant me faisant remonter et ressortir ma queue. J’appréciais cet acte sexuel au milieu de la mer. N correspondait au type d’homme qui me font craquer physiquement, ajouter à son audace, à la beauté de sa queue et sa douceur , au vue de l’état d’excitation précédent je prenais beaucoup de plaisir à sentir sa bite aller et venir dans ma chatte si bien que j’avais envie de le sentir aller plus loin accéléra le rythme me faire jouir fort. Il continuait à appuyer sur mes fesses m’amenant à la limite de boire la tasse puis me relâchant me remontant faisant coulisser sa queue lentement dans ma moule.
J’enroulais mes jambes autour des hanches et m’empalait sur sa queue. Toutefois la profondeur de l’eau faisait que ce n’était ni idéal, ni facile, même si N assurait très bien.
• Olga, je te propose un endroit plus confortable. Allons dans la pinède et là je te baiserai comme une chienne.
• Je suis nue que vont penser ces gens ?
• Que tu es une salope qui va se faire mettre dans la pinède. C’est la vérité, non ?
• Oui, de toute façon j’en ai trop envie.
• On va sortir dans cette direction. Il y a là quelques amis avec qui j’avais parié que je te baiserai aujourd’hui. Je veux qu’ils assistent à mon triomphe.
• Macho, va ! Si ça te fait plaisir !
Nous sortîmes de l’eau main dans la main à l’endroit où se trouvaient ses amis, une compagnie d’une dizaine d’hommes. Ils applaudirent le triomphe de N. N prenait son temps pour m’exhiber. Il m’embrassait fougueusement, me caressait. Si la police avait été là, nous étions embarqués pour attentat à la pudeur.
• Tu nous avais dit, N, que c’était une salope, tu avais raison !
• Et son mari ?
• Son cocu dort profondément. Mais ne vous inquiétez pas, il adore que son épouse se fasse prendre par d’autres mecs. Sauf que cette fois, il n’est pas à la manœuvre. Bon maintenant excusez-nous, mais elle a envie et moi aussi. Olga, dis à ces Messieurs ce que tu veux !
• Je veux que tu me sautes, N. J’ai envie que tu baises tous mes trous, j’ai envie d’être ta femelle.
• Tu es à moi pour toute la durée de ton séjour sur cette ile, chérie. Et si vous voulez mater, ne vous gênez pas, on va dans les dunes. Et comme elle a de gros besoins, quand j’en aurais fini avec elle, elle sera à votre disposition.
Ces dernières paroles furent accueillies par des applaudissements. De mon côté, j’étais excitée à mort, car je comprenais que je n’avais pas fini, ce jour-là et pour tout mon séjour dans cette ile, d’être un instrument de plaisir.
Pendant ce temps, Philippe émergeait de sa longue sieste. Il découvrait mon papier où j’avais aussi indiqué l’heure de mon départ. Il s’inquiéta et commençait à me chercher.
La première personne qu’il trouva fut Théodora. Après qu’ils eurent fait connaissance et m’avoir décrit, il lui demanda si elle m’avait vue.
• Oui, Philippe, mais ne vous inquiétez pas, elle était accompagnée par un Monsieur.
Théodora se proposa de se joindre à Philippe dans ses recherches. Ils firent toute la plage. Pendant ce temps, Théodora en profita pour interroger Philippe sur notre couple et Philippe, sans difficulté, avoua son candaulisme et lui dit que nous pratiquions cela depuis près de dix ans.
Théodora se rapprocha de Philippe, le fixa dans les yeux et lui avoua à son tour combien notre mode de vie lui faisait envie. Elle reconnut son désir pour moi et son envie de m’imiter.
• Olga a de la chance d’avoir un mari comme toi, Philippe.
• Tu feras l’amour avec Olga, Théodora, tu verras, c’est inoubliable et c’est si beau de la voir avec une femme. Si tu veux bien que je vous observe
• Non seulement tu observeras, mais tu participeras. Je serai la maitresse de ta femme, je serai à toi aussi.
• Je ne suis pas très performant tu sais.
• Tu me laisseras m’occuper de toi.
Alors que j’étais en train de le tromper avec N, Philippe ébauchait lui aussi une relation avec celle qui devait devenir ma maitresse et la sienne. Ils échangèrent un long baiser. Théodora, qui était encore une épouse sage et une mère de famille exemplaire, se laissait aller avec une vitesse qui la surprenait elle-même.
• Il nous faut retrouver Olga. Elle doit déjà être en train de se faire prendre.
• J’ai envie de voir ça. J’espère que nous n’arrivons pas trop tard
• Ne t’inquiète pas, Olga est capable de baiser pendant des heures.
Philippe et Théodora finirent par obtenir un renseignement décisif :
• Ah c’est toi le Français cocu. Ne t’inquiète pas, ton épouse est entre de bonnes mains, avec N, dont la réputation n’est plus à faire et d’autres hommes ont suivi pour mater et pas seulement. Vas en direction de la pinède, en fonction des cris, tu devrais la retrouver.
Philippe prit Théodora par la main et lui dit :
• Viens ma chérie, allons voir Olga se faire saillir ! Tu verras c’est inoubliable.
Cela ne manqua pas de provoquer des commentaires désobligeants sur ce vicieux qui laissait sa femme le bafouer, mais qui à son tour prenait la femme des autres, certains ayant reconnu la jeune mère de famille.
Nous étions en effet à la pinède, à un endroit où on ne pouvait plus nous voir depuis la plage.
Je débarrassais enfin N de son maillot, me mit à genoux et commençais à lui pratiquer une fellation, une caresse que je voulais lui prodiguer depuis que j’avais aperçu sa belle queue.
J’entame ma fellation, sa bite est agréable à sucer, il semble aimer mes succions, il pose sa main sur ma tête et semble vouloir me guider. Je sais où je vais et ce que je fais. Je lui sors la main et le suce à gorge profonde, oubliant un peu vite que son pénis était bien plus gros et plus grand que dans mes habitudes, j’ai eu un haut le cœur et les yeux qui pleurent. L’impression d’, il rit et me caresse la joue.
Je veux qu’il me baise, il l’a compris et vient se positionner au-dessus de moi.
• Tu feras attention, je suis en période « dangereuse » et je ne prends pas la pilule.
• Tu veux être baisée, oui ou non ?
• J’en crève d’envie !
• Alors je veux me vider dans ta chatte. Et tant mieux si je te féconde, tu as déjà d’autres s, celui-là sera à 100% de notre pays.
J’avais trop envie et de toute façon pour que ma jouissance soit complète, il faut que le mâle décharge dans ma chatte.
• Mets-toi à 4 pattes, femme, une chienne comme toi, ça se prend en levrette. Mes amis sont là, ils matent en attendant de te sauter à leur tour. Regardez mes amis, je vais cocufier le Français et peut-être engrosser sa femme.
Il entra sans ménagement, ma chatte étant trempée, il n’a pas eu de mal. Il me besogne bien, je crie de plaisir
• Tu aimes ça, on dirait !
• Oui salaud, mets-la-moi bien profond. Oui, comme ça, plus fort, plus vite. Ohh mon Dieu que c’est bon.
Il sort et rentre à nouveau dans ma chatte, mouille mon anus, puis me baise avec force, il glisse un doigt dans mon cul et je jouis, je jouis si fort qu’il me dit de faire doucement. Jamais il n’avait vu une femme avoir un tel orgasme.
A ce moment-là, j’aperçois Philippe parmi les spectateurs. Il tient Théodora par la main.
• Chéri, je suis content que tu sois là, car je suis en train de te tromper. Ce type est un baiseur exceptionnel, de la race des Rachid, des Hassan, tu comprends ce que ça veut dire. Je m’offre complétement à lui, je suis sa femelle.
• Vas-y ma chérie, je veux que tu sois heureuse et je ne suis pas inquiet. Tu es encore plus belle et chaude quand tu es enceinte. Et toi, baise-la comme il faut, mon épouse est exceptionnelle.
• Tu peux me faire confiance !
• Oui N, c’est encore meilleur maintenant que mon mari mate. Chéri, je vois que tu as fait connaissance et sympathisé avec Théodora.
N varie les positions, je lui frappe les fesses, lui me presse les seins, me tape les cuisses, m’embrasse. Je m’offre totalement, échange avec lui des paroles d’amour, lui demandant de me féconder. Il me dit que je suis son Aphrodite, son hétaïre. Nos paroles sont dans ma langue natale, mais je sais que Philippe comprend. Son regard m’encourage, alors que je vois que Théodora a descendu le maillot de mon chéri et le prend en bouche.
• Philippe et Théodora, venez à nos côtés. Chéri, je veux que tu prennes Théodora et que tu te vides en elle lorsque N fera la même chose avec moi.
N prit appuis sur ses avant-bras et continua à aller et venir dans ma chatte à grand coup de rein sur une grande longueur de sa queue si bien que rapidement il me bourrait de toutes ses forces. Sa queue me ravageait la chatte. Mon corps régissait à cette folle baise et des cris de plaisirs s’échappèrent de ma bouche et mon ventre alla à la rencontre de la bite qui la besognait. Des soubresauts de jouissance se multiplièrent alors N augmenta encore la cadence ce qui provoqua un puissant orgasme dans mon corps et je jouis dans un grand cri devant ces inconnus et mon mari, la chatte remplie par une queue qui continuait à s’activer avant d’éjaculer à jets puissants dans ma chatte. N m’embrasse tendrement, s’allonge à mes côtés, nous restons là 5 min, alternant, câlins et bisous, que j’échange aussi avec Philippe et Théodora.
L’après-midi n’était pas finie, puisque les spectateurs devinrent à leur tour acteurs, mais cette fois avec protection que l’un des participants avait pris la précaution d’emporter. Je me suis aussi occupée de la belle Théodora, qui, en une journée, avait radicalement basculé.
Pour finir, cette journée, pas plus que les dix jours qui suivirent et qui furent torrides, n’eurent de conséquence ni pour moi, ni pour mon amie Théodora.
Philippe avait une fois encore montré l’étendue de son amour en étant prêt à assumer toutes les conséquences de mes excès, mais aussi de sa relation avec Théodora, qui je l’avoue, et c’est un comble, a suscité chez moi un sentiment de jalousie. Certains diront que je ne manque pas d’air, car moi je ne me gêne pas, mais je considère que Philippe est à moi !
(à suivre)



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